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Des mots des grands mots des tous beaux...

Des mots des grands mots des tous beaux...
Derniers commentaires
16 septembre 2005

Sting - Desert rose

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I dream of rain
I dream of gardens in the desert sand
I wake in pain
I dream of love as time runs through my hand
I dream of fire
Those dreams are tied to a horse that will never tire
And in the flames
Her shadows play in the shape of a man's desire
This desert rose
Each of her veils, a secret promise
This desert flower
No sweet perfume ever tortured me more than this
And as she turns
This way she moves in the logic of all my dreams
This fire burns
I realise that nothing's as it seems
I dream of rain
I dream of gardens in the desert sand
I wake in pain
I dream of love as time runs through my hand
I dream of rain
I lift my gaze to empty skies above
I close my eyes, this rare perfume
Is the sweet intoxication of her love
I dream of rain
I dream of gardens in the desert sand
I wake in pain
I dream of love as time runs through my hand
Sweet desert rose
Each of her veils, a secret promise
This desert flower
No sweet perfume ever tortured me more than this
Sweet desert rose
This memory of Eden haunts us all
This desert flower, this rare perfume
Is the sweet intoxication of the fall

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6 septembre 2005

Encagée - Within temptation

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Voici les nuages les plus sombres
Qui ne m’ont jamais entouré
Maintenant je me retrouve seule enfermée dans une cage
On ne peut trouver aucunes fleurs ici
Ni desséchement,
Ni palissement pour moi
Tout le monde avec un visage amical
Semble détenir un secret

Il me disait qu’il m’aimait
Pendant qu’il riait devant moi
Il me menait juste à l’égarement
Il a pris ma vertu
Je me sens si froide à l’intérieur
Le chagrin a glacé mon esprit

Mon cœur est couvert
De pensées emmêlées
Comment a-t-il déjà pu se sentir aussi réel ?
Existe-t-il un endroit plus solitaire que je ne le suis à l’intérieur ?
Aurais-je pu voir ?
Aurais-je pu savoir ?
Je l’ai accepté comme une vérité
Tout le monde avec un visage amical
Semble détenir un secret

Toujours là pour me rappeler
Pour me cacher l’espoir
Que quelqu’un sera peut-être là un jour
Pour me délivrer et pour ne plus jamais me quitter

1 septembre 2005

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1 septembre 2005

Elle est d'ailleurs...

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Elle a de ces lumières au fond des yeux
Qui rendent aveugles ou amoureux
Elle a des gestes de parfum
Qui rendent bête ou rendent chien
Et si lointaine dans son cœur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs

Elle a de ces manières de ne rien dire
Qui parlent au bout des souvenirs
Cette manière de traverser
Quand elle s'en va chez le boucher
Quand elle arrive à ma hauteur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs

Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
Les mots pour elle sont sans valeur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs

Elle a de ces longues mains de dentellière
A damner l'âme d'un Werner
Cette silhouette vénitienne
Quand elle se penche à ses persiennes
Ce geste je le sais par cœur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs

Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas
L'amour pour elle est sans valeur
Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs

Et moi je suis tombé en esclavage
De ce sourire, de ce visage
Et je lui dis emmène moi
Et moi je suis prêt à tous les sillages
Vers d'autres lieux, d'autres rivages
Mais elle passe et ne répond pas

[Pierre Bachelet]

24 août 2005

Ebauche n°2 - Saez

Avons-nous donc commis une action étrange ?
Explique, si tu peux, mon trouble et mon effroi
Je frissonne de peur quand tu me dis: "Mon ange !"
Et cependant je sens ma bouche aller vers toi.

Ne me regarde pas ainsi, toi, ma pensée !
Toi que j'aime à jamais, ma soeur d'élection,
Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition !

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Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition !

Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !

Celui qui veut unir dans un accord mystique
L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour,
Ne chauffera jamais son corps paralytique
À ce rouge soleil que l'on nomme l'amour !

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On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître !
Mais l'enfant, épanchant une immense douleur,
Cria soudain : "Je sens s'élargir dans mon être
Un abîme béant ; cet abîme est mon coeur!"

Brûlant comme un volcan, profond comme le vide !
Rien ne rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraîchira la soif de l'Euménide
Qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang

Que nos rideaux fermés nous séparent du monde,
Et que la lassitude amène le repos !
Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde
Et trouver sur ton sein la fraîcheur des tombeaux !"

Descendez, descendez, lamentables victimes,
Descendez le chemin de l'enfer éternel !
Plongez au plus profond du gouffre, où tous les crimes
Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel

Jamais un rayon frais n'éclaira vos cavernes ;
Par les fentes des murs des miasmes fiévreux
Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes
Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux

femme

"Hippolyte, cher coeur, que dis-tu de ces choses ?
Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir
L'holocauste sacré de tes premières roses
Aux souffles violents qui pourraient les flétrir ?

Hippolyte, Ô ma soeur! Tourne donc ton visage,
Toi, mon âme et mon tout et ma moitié,

Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles !
Pour un de ces regards charmants, baume divin,
Des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles,
Et je m'endormirai dans un rêve sans fin !"


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19 août 2005

A Marilyn...

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Allocution prononcée par LEE STRASBERG, directeur artistique de l'Actors Studio, pour l'enterrement de Marilyn Monroe, le mardi 9 août 1962.

Marilyn Monroe était un mythe.
Elle fut la vivante incarnation de ce dont est capable une femme pauvre issue d'un milieu déshérité et, pour tous, le symbole de l'éternel féminin.
Mais les mots me manquent pour décrire le mythe et la légende; cette Marilyn Monroe, je ne l'ai pas connue.
Pour nous, qui sommes aujourd'hui rassemblés, Marilyn était un être vibrant, hardi et timide à la fois, sensible, craignant toujours d'être rejeté, mais également avide de vivre, sans cesse préoccupé de s'accomplir. Je m'en voudrais de heurter ce que le souvenir que vous conservez d'elle peut avoir d'intime et de personnel --elle même recherchait et appréciait cette intimité-- en m'efforçant de raconter à vous qui la connaissiez celle que vous avez connue. Non seulement comme une ombre sur un écran mais aussi comme une brillante individualité, elle se survit dans nos mémoires.
Pour nous Marilyn était une amie dévouée et fidèle, une collègue qui s'efforçait toujours de mieux faire; nous partagions ses angoisses, ses difficultés et certaines de ses joies. Elle faisait partie de notre famille. Que cet effroyable accident ait mis un terme à son appétit de vivre est à peine croyable.
Les succès et le triomphe qu'elle avait remportés sur l'écran ne l'empêchaient pas de caresser des projets d'avenir; elle envisageait de participer aux milles choses passionnantes dont elle rêvait. Car, pour elle comme pour moi, sa carrière ne faisait que débuter et le rêve du talent qu'enfant elle nourrissait n'avait rien d'illusoire. La première fois qu'elle vint me voir, son étonnante sensibilité, demeurée vibrante et intacte, qui cherchait à s'extérioriser en dépit des conditions de vie auxquelles elle avait été astreinte me stupéfia. D'autres femmes étaient aussi belles mais il y avait apparemment chez elle un élément de plus, que le public décelait et percevait dans ses interprétations. Quelque chose dans laquelle il se reconnaissait. Elle possédait le don étonnant --à base de désir silencieux, de rayonnement et d'ambition-- de garder ses distances et, en même temps, de faire en sorte que chacun veuille partager ce sentiment, cette candeur enfantine, mélange de timidité et de ferveur.
Ce don était plus évident encore lorsque Marilyn était sur scène. Du fond du cœur je regrette que le public qui l'aimait n'ait pu la voir, comme nous l'avons vue, interpréter des rôles qui laissaient pressentir ce qu'elle serait devenue. Elle aurait été, j'en suis persuadé, une grande actrice.
Désormais c'en est fait. J'espère que sa disparition contribuera à faire mieux aimer et comprendre une artiste sensible et une femme qui fut pour tous une source de joie et de plaisir esthétiques.
Je ne lui dirai pas adieu, Marilyn détestait les adieux, mais, comme elle qui savait retourner les choses pour qu'elles concordent avec la réalité, je lui dirai au revoir. Car, nous aussi, nous rejoindrons, un jour, le pays pour lequel elle nous a quittés.
Lee Strasberg
17 août 2005

Pour quelqu'un sans légende...

Tout est surface, tout ne ressemble à rien, tout est contraire. Tu marches tout droit, tu te trébuches. On croit que tu es quelqu'un de magnifique c'est vrai mais rien en toi n'est vraiment beau. Toute ta vie n'est que simulation, un immense copier/coller de rêves. Rien n'a été construit par toi même, rien n'est vrai, rien ne te ressemble vraiment. On te dit sociable mais tu n'es qu'un vulgaire caméléon qui prend la forme de ce que l'autre aimerait que tu sois. Tu peux passer du statut de princesse à celui de vulgaire putin car rien en toi n'est construit. Une personnalité, tu n'en a jamais eu une. C'est les autres qui t'ont créée, tu es le reflet de leurs espérances, le produit de leur envie. Tu ne seras jamais une personne à part entière, tu as d'ailleurs toujours eu du mal à savoir si tu préfèrais la rose au lilas, les oeufs brouillés aux oeufs à la coque, le steak saignant au steak à point, la pluie au beau temps. Tu es une page blanche et chacun y écrit ce qu'il a envie d'y écrire. Alors le soir quand tu rentres chez toi, tu ne sais pas quoi te cuisiner, tu ne sais pas quel film regarder ni quelle musique écouter car aucune passion ne t'appartient réellement. Et là tu te rends compte à quel point ta vie est superficielle, sans fondement, sans objectif. Et tu erres sans but dans les pièces de ta maison qui ne te ressemblent pas non plus. Tu es une étrangère pour toi-même ainsi que pour la majorité des gens que tu côtoies. Tout le monde croit te connaître mais personne ne sait qui tu es puisque tu n'es rien. Et quand tu le dis, personne ne te crois, personne ne te comprends. On veut te remonter le moral mais personne ne sait non plus quel est le vrai fondement de ton problème. Car dans le fond, il y a-t-il vraiment un problème ? Ce n'est que les jours où tu es seule que tu remarques ta solitude éternelle. Et pour y remédier, tu vois des gens et là tout recommence et tu es heureuse pour un instant, un instant éphémère, un instant parmi tant d'autre où tu te retrouves encore sans légende, sans toi, sans rien.

17 août 2005

Comment prendre sa douche comme une femme ?

1. Retirez vos vêtements et placez les dans les paniers à linge sale correspondant (le blanc avec le blanc, les couleurs avec les couleurs)

2. Allez jusqu'à la salle de bains en portant votre peignoir. Si vous croisez votre mari ou votre petit-ami au passage, recouvrez chaque partie de chair visible d'un geste nerveux et courez jusqu'à la salle de bains

3. Regardez-vous dans la glace, et sortez votre ventre pour que vous puissiez vous plaindre et pleurnicher parce que vous prenez du ventre.

4. Allez sous la douche. Cherchez le gant de toilettes pour le visage, le gant de toilettes pour les bras, le gant de toilettes pour les jambes, la grande éponge et la pierre ponce.

5. Lavez vos cheveux une première fois avec le shampooing Quatre en Un des Laboratoires Garoniais aux 83 vitamines.

6. Relavez vos cheveux une première fois avec le shampooing Quatre en Un des Laboratoires Garoniais aux 83 vitamines.

7. Utilisez l'après shampooing à l'huile de Jojoba et de glande anale de castor des laboratoires Garoniais. Laissez l'après shampooing pendant 15 minutes sur vos cheveux

8. Frottez-vous le visage avec un masque fait d'oeufs mélangés à de la purée d'abricots.

9.Frottez pendant dix minutes ou jusqu'à l'obtention d'une sensation de forte irritation.

10. Rincez l'après shampooing (cette opération doit prendre au moins 15 minutes pour être bien sûr que les cheveux soient bien rincés).

11. Rasez-vous les aisselles et les jambes. Hésitez à vous raser "le maillot" mais optez finalement pour une épilation à la cire

12. Hurlez tout ce que vous pouvez, le plus fort possible lorsque votre mari ou votre petit ami se met à tirer la chasse ou fait couler de l'eau quelque part.

13. Coupez l'eau de la douche

14. Épongez toutes les surfaces mouillées de la douche. Passez un coup de spray anti-moisissures sur les joints du bac de douche

15. Sortez de la douche. Séchez-vous avec un drap de bains grand comme deux fois la France. Enveloppez vos cheveux dans une deuxième serviette de bains.

16. Inspectez la moindre partie de votre corps à la recherche d'un bouton. Attaquez-le avec les ongles ou une pince à épiler si nécessaire.

17. Retournez dans la chambre enveloppée dans votre peignoir et avec votre serviette dans les cheveux

18. Si vous croisez votre mari ou votre petit ami au passage, recouvrez chaque partie de chair visible d'un geste nerveux et courez jusqu'à la salle de bains où vous passerez une heure et demie à vous habiller.

17 août 2005

Savez-vous pourquoi le chocolat est meilleur que le sexe ?

1 Vous pouvez AVOIR du chocolat quand vous le voulez.
2. "Si tu m'aimes, tu pourras tout avaler ça " a un vrai sens avec le chocolat.
3. Le chocolat satisfait même s'il devient mou.
4. Vous pouvez avoir du chocolat quand vous conduisez, et ceci est prudent.
5. Vous pouvez avoir du chocolat aussi longtemps que vous voulez.
6. Vous pouvez avoir du chocolat en face de votre grand-mère.
7. Si vous mordez les noix trop fort, le chocolat ne se plaindra pas.
8. 2 personnes de même sexe peuvent avoir du chocolat sans avoir à se donner des surnoms "cochons".
9. Le mot "grossesse" n'effraie pas le chocolat.
10. Vous pouvez avoir du chocolat sur votre bureau, sans tomber sur les nerfs de vos collègues de travail.
11. Vous pouvez demander à un étranger du chocolat, sans risquer une gifle.
12. Vous n'avez pas de poil dans la bouche avec du chocolat.
13. Avec le chocolat, pas besoin de faire semblant.
14. Le chocolat ne vous fait pas tomber enceinte.
15. Vous pouvez avoir du chocolat à n'importe quel jour du mois.
16. Du bon chocolat est facile à trouver.
17. Vous pouvez avoir autant de sorte de chocolat que vous voulez.
18. Vous n'êtes jamais trop jeune ou trop vieux pour du chocolat.
19. Quand vous avez du chocolat, ça ne réveille pas vos voisins.
20. La grosseur du chocolat importe peu.... c'est toujours bon.

16 août 2005

Goodnight - Beatles

Now it's time to say good night
Good night Sleep tight
Now the sun turns out his light
Good night Sleep tight                                           
Dream sweet dreams for me
Dream sweet dreams for you.

Close your eyes and I'll close mine
Good night Sleep tight
Now the moon begins to shine
Good night Sleep tight
Dream sweet dreams for me
Dream sweet dreams for you.

Close your eyes and I'll close mine
Good night Sleep tight
Now the sun turns out his light                                    
Good night Sleep tight
Dream sweet dreams for me
Dream sweet dreams for you.

Good night Good night Everybody
Everybody everywhere
Good night.

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